Le
développement durable est selon Gro
Harlem Brundtland (1987) « un développement (progrès matériel et
scientifique) qui répond aux besoins présents sans compromettre la capacité des
générations futures à répondre aux leurs ». Ce concept vieux de plus de 20
ans est aujourd’hui plus que jamais d’actualité et sa prise en considération
dans la perspective dialectique (Théorie-Pratique-Praxis) est la garantie de la
survie de la nature dans un monde de plus en plus développé et égoïste. Pendant
que la plus part des gouvernements au monde, s’efforce à l’insérer dans le programme
de société, les universités aussi l’insèrent dans leur cursus afin de donner à leurs
diplômés des connaissances en la matière mais aussi des aptitudes propres à sa
réalisation.
La
jeunesse est, dans ce processus, un maillon essentiel dans la mesure où son action
et sa vie sont durables dans l’espace et dans le temps. L’éduquer à la pratique
du développement durable c’est soulever le problème de la dynamique du Développement Durable
et l’engager par la même occasion.
L’impact
de la jeunesse peut se situer à différents niveaux. Nous aurons le temps de les
passer en revue. Pour ce qui nous intéresse ici, il est question de la
solidarité.
C’est
un devoir de conscience qui nous impose d’être solidaires des actions menées par
le gouvernement dans le cadre du développement durable. Cette solidarité est
celle qui nous lie à notre époque. Mais dans un perspective de durabilité, nous
devons être solidaires des générations à venir. Prenant nous-mêmes des
initiatives personnelles en faveur de l’environnement telles que des éco-gestes,
des éco-initiatives, des éco-décisions. Il s’agit en fait de faire de ce défi nôtre,
de s’y impliquer comme s’il s’agissait du meilleur héritage que nous devons
laisser à ceux qui viendront après nous...
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